30 nov. 2010

{Test#327} The Beginning des Black Eyed Peas

On l'attendait depuis un moment ! Il est sorti il y a quelques jours en numérique, et aujourd'hui dans les bacs, il s'agit du dernier album des Black Eyed Peas, The Beginning.


Un album bien étonnant, car leur dernier album The E.N.D. à peine consommé, il reviennent avec The Beginning, faisant du coup les choses à l'envers et mettant la fin avant le début ! Ou plutôt c'est un peu comme si The E.N.D. fermait une époque, et que The Beginning en ouvrait une nouvelle.

Une nouvelle ère, où les Black Eyed Peas se posent en tant que bougeurs de dancefloors, portés par leur tube interplanétaire, I gotta Feeling, qui a bien dû faire danser la moitié de la planète. J'ai dû l'entendre à des fêtes de clubs de troisième âge, des mariages beaufs, des before tendances, des afters grunges, chacun se ré-apropriant cette musique universelle.

Dans ce nouvel opus, les Black Eyed Peas arrivent avec tout un tas de samples des années 90, beaucoup de rythmes qu'on-a-déjà-entendu-ici-où-là. Mais ça marche plutôt bien, et finalement, même si tout n'est pas parfait, leur trip électro, hip hop, R&b, pop et dance fonctionne avec la Black Eyed Peas touch', un peu comme ce bonhomme qui transformait tout ce qu'il touchait en or*.

Et leur album débute fort avec un ovni, The time, un revival du célébrissime (I've had the) Time of my life, de Dirty Dancing, single résolument dancefloor. Dans leur clip, les BEP mélangent le pixel, le plus petit dénominateur commun, à des technologies nouvelles comme la réalité augmentée... on attend la suite !


Sachez en attendant que tout renouveau nécessite un nouveau logo, et c'est le cas pour les Black Eyed Peas avec ce nouvel album. Et plus je l'écoute, cet album, plus je le trouve chouette !

The Beginning. 11,99€ sur Itunes version Deluxe (15 morceaux dont 3 bonus tracks)
En écoute sur deezer
Sources Aceshowbiz
The Black Eyed Peas Official


*le roi Midas, pour les incultes

29 nov. 2010

{Test#326} Retour en enfance, mangez des PEZ


Il y a quelques jours j'ai été pris d'une envie subite de manger des Pez. Vous vous souvenez de ces bonbons rectangulaires, aux bouts arrondis, que l'on déguste en les croquant ou les suçant, tout dépend, et que l'on pioche dans un distributeur ?

Ces bonbons ont marqué toute mon enfance, et des distributeurs de Pez, j'en ai eu des tas. En haut de chaque distributeur, un personnage bien connu des enfants. Je me souviens, à l'époque j'avais un Garfield, un Babar, une Tortue Ninja.


Et bien figurez-vous qu'aujourd'hui, trouver des Pez n'est pas si aisé qu'il n'y parait. J'ai du faire quelques supermarchés avant d'en trouver un qui vende les distributeurs et les recharges. C'est dans un Monoprix que j'ai trouvé tout mon attirail.

Sauf qu'une fois trouvé les distributeurs, je suis resté coi en me rendant compte que finalement, je n'étais plus un enfant. Je ne reconnais absolument pas les personnages qui surplombent les distributeurs. Sauf un, Gary le petit escargot qui n'est autre que l'animal de compagnie de Bob l'éponge. Ouf, je suis sauvé, et encore un petit peu dans le coup !


Les recharges ont les goûts de cerise, d'orange, de citron ou de fraise. Comme à l'époque, je mets aujourd'hui encore plus de temps à mettre mes Pez dans le distributeur qu'il ne m'en faut pour les manger.

Douce régression, pour des petits bonbons dont le goût n'a pas changé depuis toutes ces années. Et vous verrez, proposez un Pez à vos amis, ils auront des étoiles dans les yeux !


Site officiel de Pez

28 nov. 2010

{Test#325} Latino guys, des Bad boys version US

Ouh mes amis qu'il fait froid ! L'hiver n'est pas tout à fait là encore, mais les températures ont bien descendu, et un dimanche comme celui-ci, la tentation de rester au chaud sous la couette est bien grande.
Alors si on rajoute à ça un mari qui n'est pas beaucoup plus motivé, et un film porno encore jamais vu, ça se transforme en grasse matinée crapuleuse. Nous avons regardé pour vous Latino Guys, Kingsize Bad Boys.

Le titre l'annonce, dans ce film on trouve des latinos, des bad boys, aux tailles plus qu'impressionnantes. Le film est produit en France par le site bolatino. Et les bad boys latinos, pour les américains, c'est comme les wesh de citebeur pour nous. Un fantasme de virilité.
Les 9 modèles de ce film, qu'on nous suggère fortement tous hétéros regardent à chaque scène des films où des filles crient, hurlent en permanence, ce n'est pas des plus agréable.

Le film est à budget très limité et tout concorde à nous donner une impression d'amateurisme : les scènes sont tournées à la main, pas de musique, peu de montage (les scènes sont longues), le tout dans des appartements assez miteux.
Et si on nous les suggère tous très hétéros, ils n'opposent qu'une faible résistance, et ne montrent pas de dégoût aux moeurs triviales qu'on leur demande d'adopter. Les 5 scènes de 90 minutes au total les mettent en scène seul, à deux, ou à trois.

Toutefois, pas de minet dans ce film, tous les acteurs font tous très très mec, tatoués de graphes partout, et pour la plupart hispanos. On remarque quand même la présence de deux ou trois acteurs caucasiens, dont un blondinet au look de skatteur.
Si dans certains films les acteurs ont souvent tendance à en faire beaucoup trop, et se mettent à gémir avant même qu'on les ait touchés, ne cherchez pas ici de performance d'acteur, on dirait qu'ils se sont tous donné le mot pour ne pas avoir de réaction sur leur visage, à quelque moment que ce soit !

Un film qui plaira aux fans de films amateurs, aux adorateurs de petites frappes, aux spécialistes des mecs de couleur. Je n'ai pas été pour ma part convaincu outre mesure. Mais je dois avouer que ça nous a tout de même donné l'occasion d'un dimanche matin coquin !
Latino guys, King size bad boys, 29,90 € chez Gaysexpert. La bande annonce ici

26 nov. 2010

{Test#324} Show me your teeth 1 : Le Dentifrice Email Diamant


Comme le dirait si bien Lady Gaga, show me your teeth... et moi je te dirais qui tu es ! J'ai toujours été obsédé par deux choses depuis mon plus jeune âge : les sourcils et les dents. Tandis que les uns doivent être bien dessinés, sans être trop minces, ni épilés pour être parfaits (mais c'est une autre histoire), j'aime les autres bien droites, et surtout immaculées.

Des dents blanches illuminent un visage, et même si c'est surfait connotent également la pureté, donc l'hygiène. Avouez que comme moi, une bouche pleine de dents blanches donne plus de confiance pour y mettre la langue.


Et le plus simple pour avoir de belles dents blanches reste un entretien régulier (j'en avais déjà parlé ici). Certaines personnes en revanche ont un émail jaune, et dans ce cas, rien de possible, mis à part la pose de facettes, dont on choisira la couleur (évitez le rose ça fait désordre).

Je vais vous parler en plusieurs tests de méthodes qui existent pour gagner en blancheur au niveau des dents. En France la législation est stricte, et les produits vendus en grande surface ne peuvent pas contenir une grande quantité d'agents blanchissants (peroxyde d'hydrogène ou cardamine). Ils sont donc moins efficaces que ceux vendus aux Etats-Unis, par exemple.


Aujourd'hui mon test porte sur le dentifrice Le Secret du blanc d'Email Diamant. Il garantit des résultats en 7 jours constatés à 75%. De bien beaux chiffres qui, si on s'y penche d'un peu plus près, ne sont pas si glorieux : les différents tests ont été faits sur 19, 65 et 10 personnes. On ne peut donc pas vraiment parler d'échantillons représentatifs.

Quant à la composition, il y a dans ce dentifrice du calcium et du magnésium pour reminéraliser, du fluor pour prévenir des caries, et du silicium qui va prendre soin des gencives. Pas de trace donc de quelconque agent blanchissant.


Le dentifrice se présente non pas sous forme de tube, mais de flacon renversé sur le bouchon, avec un embout assez fin pour doser plus facilement la quantité de dentifrice déposée sur la brosse à dents. Le produit coûte 3,50 € environ en grande surface.

Jugez-en par vous même, je ne trouve pas que le résultat soit significatif. Mais après avoir vu la composition, je n'étais pas vraiment convaincu d'un quelconque résultat. Le produit devient donc à mes yeux un simple dentifrice tout bête, et du coup très cher pour ce qu'il propose.



Un premier test pas concluant du tout, donc.  La semaine prochaine, la brosse à dents électrique.

Source : site de Email Diamant , ciao.fr

25 nov. 2010

{Test#323} Gadget indispensable : le Chauffe Mug USB

Nous sommes aujourd'hui à un mois de Noël, et allons tous, dans les prochaines semaines nous retrouver coincés dans des magasins avec des milliards de gens aux caisses. Ou pire, rivés devant notre ordinateur, avec l'angoisse du champs-de-recherche-Google vide.


Après une timide recherche : "idées de cadeau de Noël", vous sombrerez dans la déprime, n'ayant en fait aucune idée qui vaille le coup pour votre petit cousin ou la mère de votre mec. Et là, Fabisounours dégaine. J'ai en effet dégoté tout un tas de trucs rigolos, qui seront tout autant de cadeaux funs que vous pourrez offrir et que je vous présenterais d'ici Noël.

Aujourd'hui un cadeau typiquement geek : le chauffe-mug USB. Si vous êtes adepte de thé, et que vous passez, comme moi, la majeure partie de votre journée devant un ordinateur, alors vous avez forcément un jour trempé vos lèvres dans un mug complètement froid, tellement vous avez été pris par votre travail (si, ça arrive)


Et la solution est toute simple. Le chauffe-mug se branche par un port USB. La surface plane en métal chauffe et sert à reposer la tasse. Elle va conduire la chaleur au mug, et donc au liquide qui s'y trouve. La résistance chauffe à hauteur de 50°C en moyenne. Votre thé ne sera donc pas brûlant pendant des heures (c'est comme ça que je l'adore), mais le maintiendra suffisamment chaud.

Lorsqu'on m'a offert ce gadget je me suis d'abord dit que c'était un vrai truc d'ingénieur informaticien, le cadeau geek par excellence. Et après il ne me manque plus que le lance missiles en mousse USB (je vous jure ça existe). Et puis finalement, je l'utilise tous les jours.


Parce que c'est vraiment super pratique, que ça marche bien, et que c'est super simple d'utilisation (un seul bouton, marche/arrêt). Et tandis que mon entreprise déménage dans deux semaines et que nous sommes en train de faire nos cartons, s'il y a bien quelque chose que je suis sûr de ne pas laisser ici, c'est bien mon Chauffe-Mug USB !

Chez Mageekstore, il donne l'heure et la température, pour 21 €. Tout simple chez Maxicoffee pour 14 €. Chez usbgeek, il tient les tasses au chaud, ou les sodas frais, pour 22$ (18 €). Sur le site la-tasse-chaude, le tout basique est à 9,90€, et un concours permet de le gagner, jusqu'au 5 décembre.

24 nov. 2010

{Test#322} Garnier sort l'artillerie lourde avec son exfobrosse


S'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est les publicités mensongères ! Et si l'efficacité de certains produits est dure à démontrer - comme celle d'une boisson énergisante ou d'un perfecteur de teint par exemple - il y a un certain nombre d'éléments factuels sur lesquels il est idiot de mentir.

Et tandis que je commence le test d'un des nouveaux produits de la gamme Pure de Garnier (dont j'ai déjà testé le masque 3 en 1 ici), je scrute les étiquettes et autres stickers, et tombe sur une accroche attractive : "180 fibres flexibles extra-douces". Ouahou tout ça pour moi !


Non mais sincèrement, messieurs et mesdames de chez Garnier, vous pensiez vraiment que je n'allais pas compter lesdites fibres ? Parce que c'est raté ! Et après vérifications multiples, je peux vous affirmer que la publicité est mensongère ! Il n'y a que 173 fibres qui vont s'occuper de vous. L'arnaque !

Bon, passé ce moment de fureur, je me remets à l'observation attentive du produit. En gros le principe est le même que pour les produits de cirage avec applicateur intégré. Ça marche mieux si vous imaginez que vous êtes une grosse chaussure.


Vous mettez le produit à l'envers, en position ouvert, vous appuyez un peu pour qu'une noix de produit se mélange aux fibres (qui ne sont pas 180), puis vous refermez le produit et vous frottez la brosse sur votre visage humide.

L'odeur du produit n'est pas agréable. Elle me fait penser aux produits ménagers. Selon mon mec, c'est exactement l'odeur du produit anti-tartre pour les WC. Et votre pauvre visage qui passe de "chaussure" à "lunette des toilettes", c'est pas glamour.


L'application au moyen des fibres (qui ne sont pas 180) est, je dois l'avouer assez pratique. Le produit est bien réparti sur le visage et s'imprègne bien. Quant à la composition, pas grand chose de naturel là-dedans, la lecture de la liste d'ingrédients fait un peu peur !

Le point positif, tout de même c'est la sensation d'être super propre, avec la peau toute douce, après l'application du produit. On se sent frais, exfolié, sans plus aucune peau morte !


Au final, pas vraiment convaincu par ce produit qui entre dans la tendance des produits/outils, et moins encore par son prix prohibitif : aux alentours de 7 € en grande surface (prix conseillé), ce qui fait le litre à plus de 45 €.

Une petite fortune pour un résultat correct mais à ce prix on aurait souhaité au moins un parfum agréable et une composition plus naturelle.

23 nov. 2010

{Test#321} Kiss the Past Hello de Larry Clark

Jeudi dernier, je suis allé voir l'expo de Larry Clark, Kiss The Past Hello, avec le grand Tto. Elle se trouve au Musée d'Art Moderne de Paris, près du Palais de Tokyo, ce jusqu'au 2 janvier 2011.

©Larry Clark

Si vous voulez savoir comment j'ai attendu pendant près d'une heure dans le froid et en avançant pas à pas, inlassablement dans une file d'attente aussi longue qu'à un concert de Justin Bieber, alors lisez l'article de Tto à ce sujet (juste ici), qui raconte tout très bien, et en détail.

Mais une fois le Tto arrivé, nous avons pu enfin accéder à la fameuse exposition. Et à bien observer les gens, certaines personnes ne viennent là que par ce scandale que l'expo suscite, et la restriction d'accès aux mineurs dont elle fait l'objet.


L'expo de Larry Clark commence par quelques clichés de sa mère (ses parents étaient tous deux photographes). Puis on découvre son travail sur l'ennui ou la violence. Tout en vaquant dans l'exposition, nous discutons avec Tto de ce que ces clichés nous suggèrent. Je lance Nan Goldin, une autre photographe qui m'a marqué, il rétorque Ken Park, un film du photographe (à voir absolument).

Et la pièce suivante ira dans ce sens, car on retrouve à travers le travail de l'artiste - qui se mèle à des groupes d'adolescents défavorisés, désabusés - certains des acteurs du film. Le ton est donné, nous parlons de choses et d'autres, de l'exposition, un peu de son Zolimari, et moi du mien.


Les clichés défilent et nous entrons dans l'intimité la plus complète des modèles. Pour la plupart nus, souvent en plein acte sexuel, parfois en train de se droguer, les thèmes majeurs du photographe sont violents et crus, et tournent tous autour de la fin de l'adolescence, période de la vie qui le fascine.

Mais de voyeurisme il n'y en a pas. Parce que l'artiste s'est fait accepter dans cette intimité. Et si quelqu'un dans l'histoire est voyeur, c'est bien le spectateur qui est venu voir un bout de quéquette. C'est sur ce sujet que nous dissertons avec Tto en entrant dans la librairie qui suit l'expo (qui est décidément trop courte).


Ce que j'aime beaucoup dans les rencontres avec des blogueurs, c'est qu'on connaît déjà l'image que chacun veut donner de soi. Dans un blog, celle-ci est travaillée, perfectionnée. Rien ne sert de s'attarder sur des banalités.

Ce qui est intéressant, dans une vraie rencontre c'est de tout de suite chercher ce qui n'est pas le blogueur, mais la personne. Et Tto, le sûr de lui à l'égo géant, la star blogosphérique est un garçon tout naturel, à la conversation facile et aux références multiples. Quelqu'un de bien, derrière le fanfaron, et surtout, un costume impeccable.


Quant à l'expo, elle dure donc jusqu'au 2 janvier, et est interdite aux mineurs (ce qui donc, n'est pas une raison suffisante pour aller la voir).
Au Musée d'Art Moderne. Nocturne le jeudi soir.
Plein tarif : 5€. Toutes les infos sur le site du musée.

22 nov. 2010

{Test#320} The Knife, la New Wave en mode suédois

Il y a quelques semaines, j'étais tombé, au hasard d'un cliquage intempestif et frénétique sur Youtube sur un clip bizarre où une femme transsexuelle chantait dans un bar pas top du nord de l'Europe (impression donnée par les murs en lambris, typiquement comme dans les saunas)


Et puis j'avais continué ma life, quoi, comme disent les jeunes, et sans m'en rendre compte j'étais tombé amoureux de la musique de ce clip. Sauf que c'est pas si simple. Va retrouver une musique dont tu te souviens pas bien l'air (j'ai essayé quand même Shazam, sans résultat), et dont tu ne connais ni le nom du groupe, ni le titre.

Ça donne des recherches totalement infructueuses sur google : "groupe suédois dont le clip est dans un bar miteux", "femme transsexuelle chante dans un bar nordique", je ne vous raconte pas ce sur quoi je suis tombé. J'ai harcelé des blogueurs, comme lui ou lui, mais rien n'y fit, je ne retrouvais pas le groupe.


Et puis à force de persévérance, j'ai réussi, la semaine dernière. Il s'agissait en fait du groupe The Knife dont la chanson, Pass this on, me met quasiment en transe. Et pour être sûr de jamais plus oublier, la voici, la voilà.


The Knife, c'est un groupe composé d'un frère et d'une soeur. Ils sont suédois (d'où le lambris), et ont commencé leur carrière il y a dix ans. Les deux conservent un certain anonymat, se produisant principalement avec des masques vénitiens. Quelques titres, dont Silent Shout ou Heartbeats, sont plus connus du grand public que le reste de leur oeuvre.

The Knife - HeartBeats


La musique de The Knife est électro, très empreinte de sonorités de synthés, avec plein de petits samples qui font vachement penser aux années 80. C'est une musique parfois aussi expérimentale, et très personnelle. Si on peut rapprocher le groupe à Royksopp, par exemple, on sent que le frère et la soeur explorent dans chaque nouvel album une route musicale qui leur est propre.


Leur dernier album, Tomorrow, In a Year (sorti début 2010, soit presque un an demain) explore une confrontation entre l'électro et le classique, c'est étonnant, c'est très intéressant, et ça s'écoute ici.

21 nov. 2010

{Test#319} Le Sex Harness Fetish Fantasy

En ce froid dimanche de novembre, j'ai un objet qui vous réchauffera de partout, en vous permettant de vous prendre, avec votre partenaire pour les rois incontestés du sexe acrobatique. J'ai essayé pour vous le Sex Harness Fetish Fantasy series.


L'objet proprement dit ressemble aux autres harnais sexuels que l'on peut trouver ailleurs, mais il possède en plus deux sangles permettant d'accrocher les cuisses du partenaire, et deux poignées pour qu'il puisse s'accrocher à vous.

Et ces petites trouvailles vous permettront du coup d'accomplir des positions que vous n'aviez pas soupçonné être en mesure de faire.


Tout d'abord, le harnais est loin d'être en cuir brut avec des sangles froides. Le confort est de rigueur. Notamment pour les épaules du porteur qui sont rembourrées et recouvertes de fourrure noire.

Ainsi la "pesée" de votre partenaire n'occasionnera pas de vilaines marques si jamais il ou elle avait quelques kilos de trop. On retrouve ce confort pour les sangles de cuisses qui sont elles aussi rembourrées.


Côté pratique, le harnais se règle à votre taille au moyen de sangles réglables dans le dos. De même pour les sangles des cuisses qui se rapprochent ou s'éloignent du harnais de la même manière.

Les deux poignées situées sur la poitrine du porteur permettront une fois en pleine voltige à l'acrobate de trouver un point d'appui pour ses mains, et s'assurer d'un certain équilibre.


En toute franchise, c'est assez rigolo de pouvoir faire des positions un peu folles (quelques exemples sur le site, ici) qu'on n'aurait pas testé sans ce harnais, de peur de tomber. Mais veillez toutefois à ne pas vous lancer d'un seul coup et de faire très attention à votre centre de gravité. La chute est facile. Mais après quelques entraînements, on prend vite le coup.

C'est finalement un objet qui aide à faire du sexe acrobatique facilement, un peu comme le Position Master que je vous avais présenté, qui permettait de garder les jambes en l'air sans effort.


Pour ce qui est du prix, le Sex Harness coûte 130$, j'avoue c'est très cher. Mais vite rentabilisé si vous avez décidé de vous faire toutes les positions du Kama Sûtra.

Sex Harness, en vente chez Pipedream products.

19 nov. 2010

{Test#318} La gamme Nesfluid

Encore une fois c'est une publicité accrocheuse qui m'a fait tourner la tête.

Je crois que tout remonte à quand j'étais petit, et que je m'ennuyais avec ma soeur, au repas du soir. Nous ne pouvions pas parler pendant le JT, et la délivrance venait juste après, alors que mes parents discutaient des problèmes du monde, et que la bride du silence se relâchait.


Notre grand jeu était de se regarder droit dans les yeux, et de deviner, uniquement en entendant les premiers sons, quel était le spot publicité qui passait. Nous sommes ainsi devenus incollables. Enfant de la télé, ça m'est resté et je suis un inconditionnel de la publicité, que j'écoute volontiers plus attentivement que les programmes qu'elle encadre.

Cette fois donc, c'était Nesfluid, avec ce spot là :


Comme vous le savez déjà, mon appart est à quelques mètres seulement d'un supermarché, je me suis donc, ô c'est étonnant rendu là-bas pour acheter toute la gamme sinon rien.

Celle-ci est composée de deux éléments principaux : l'eau de coco, celle-là même qui se trouve à l'intérieur de la noix de coco, à ne pas confondre avec le lait de coco (laiteux et gras) ; et le lactosérum, appelé aussi petit-lait, utilisé depuis le 17è siècle en pharmacie, composé de protéines, de vitamines et de minéraux.


Pour le reste, chaque boisson apporte ses propres jus de fruits et nutriments, pour une action ciblée.

• Vitalise : un jus de kiwi et guarana (le seul que je n'ai pas trouvé) pour vitaliser le physique et l'intellect (quel programme !!)
• Rayonne : aux fruits rouges et aux polyphénols qui sont de très bons antioxydants, pour protéger les cellules.
• Equilibre : au citron et à la vitamine C.
Body : au thé et café verts, et à l'ananas.
Protect : à la grenade, au zinc et au sélénium, encore une fois pour antioxyder (mais depuis Pomwonderful vous êtes incollables en la matière, n'est-ce pas ?)
• Enfin Renforce au goût chocolaté, vitamine D, calcium et phosphore, super pour les os.


Une gamme complète donc, au design arrondi, féminin, et moderne, et aux couleurs acidulées. Sauf que mise à part la boisson Renforce qui a finalement un goût de Candy'up, je n'ai vraiment pas trouvé les autres bonnes.

Nesfluid annonce 25% de sucre en moins dans ses boissons. Alors soit nous sommes trop habitués à ce qu'il y ait beaucoup de sucre (c'est possible), soit ces boissons n'ont ni sucre, ni goût, mais j'ai trouvé l'ensemble plutôt fade.


Et ce qui ressort surtout c'est un mélange de jus de fruit et un arrière goût d'eau de coco, et ce mélange n'est pas du meilleur effet dans bien des cas, le goût de l'eau de coco effaçant celui des fruits.

Un autre petit défaut réside dans le fait que la bouteille est opaque. On ne voit pas la couleur du jus de fruit (et comme ce sont de petites portions, il est aisé de boire à la bouteille), et mieux vaut d'ailleurs, car l'eau de coco trouble le jus. Ce n'est pas appétissant.


Dernier détail, mais qui n'est pas des moins importants, c'est le prix. 1,65€ (prix conseillé) pour 250mL, ce qui fait plus de 6 € le litre, c'est relativement cher pour ce que c'est.

Conclusion: comme bien souvent je suis plus convaincu par les publicités que les produits. Mais je me laisserais quand même tenter la prochaine fois. Je me connais...

Sources : nesfluid, wikipedia, couleurgeek

18 nov. 2010

{Test#317} Nouveau : La boutique Mencorner

Parmi vous, je suis sûr qu'une bonne moitié des garçons connaît la boutique en ligne MenCorner. Et si ce n'est pas le cas allez vite réparer cette erreur ici, sinon je vous répudie. Ou alors, encore mieux, aller directement dans la première boutique en France.


Mencorner, c'est tout d'abord un site qui est super pratique. On y trouve à peu près tous les cosmétiques pour homme, visage, rasage, soins du corps, parfums ou cheveux. Que ce soit Nickel, Clarins, Zirh ou Ulltra, les dernières nouveautés de la plupart des marques sont chaque fois présentes, et en restant attentif à la newsletter, on a souvent des réductions ou des offres promo.

Et depuis quelques semaines, le site a ouvert sa première boutique qui n'a rien de virtuel, avec des vrais murs, une vraie vitrine et une vraie vendeuse dedans. Elle se situe dans le 17è arrondissement de Paris, et je suis allé pointer le bout de mon nez pour voir ce que ça donnait.


La boutique est petite, et les quelques présentoirs ne peuvent contenir tous les produits que vend Mencorner. En revanche, l'endroit est joli et accueillant, bien éclairé, et le panel de produits présentés est vraiment bien mis en majesté.

Et l'atout principal de la boutique, c'est Jessica. La jeune fille brune est la responsable de la boutique, et elle m'explique que l'intérêt d'avoir ouvert une boutique en réel, c'est le contact humain. C'est vrai qu'autant les boutiques ouvrent très souvent un site internet, autant les sites internet ouvrent rarement de boutiques.


Et Jessica, forte de son expérience dans les cosmétiques depuis 10 ans est plus que ravie d'apporter son savoir et ses conseils à ses clients. C'est avec des étoiles dans les yeux qu'elle me donne l'exemple d'un client qui n'avait que très peu l'habitude des cosmétiques qui était parti ravi en sachant désormais qu'il avait la peau mixte et réactive.

Et si tous les produits ne sont pas présents en boutique, ils se sont bel et bien à l'arrière-boutique, et tout ce que vous avez repéré sur le site, vous le trouverez là-bas, et au même prix, avec l'accueil en plus.


Il y a également la possibilité de faire sa commande en ligne et aller la chercher en boutique, pour économiser les éventuels frais de port. Ceux-ci sont tout de même relativement raisonnables puisqu'ils sont de 4,95 € jusque 60 € d'achats, gratuits au-delà.

Et pour ceux qui ne sont pas parisiens, il vous reste toujours le site, et peut-être d'ici quelques années attendre l'ouverture d'autres boutiques (sinon on va me reprocher de faire du parisianisme encore !)


Boutique Mencorner
73 rue Laugier
75017 Paris.

17 nov. 2010

Episode 3 - Tauri Max, de l'énergie en shots

Et voici, après quelques semaines, mon troisième test en vidéo. Cette semaine, il s'agit des shots de boisson énergisante Tauri Max, des laboratoires Vitarmonyl.

Quelle est leur composition, leur prix, les recommandations ? Et surtout, est-ce que ça marche ? Vous saurez tout en regardant cette petite vidéo de 3 minutes 30.


La rediff' : et oui, chaque fois que je vous mets un de mes tests en vidéo, je pense toujours à ceux qui sont à leur boulot, et/ou tous ceux qui ne peuvent pas mettre le son ou regarder de vidéos. Cette fois-ci, je vous propose à la place un article sur la boisson énergisante bio Chamane.




Et si vous en voulez encore, cliquez sur les miniatures ci-dessous pour retrouver mes autres tests en vidéo.

16 nov. 2010

{Test#315} Avec Jenifer, Je Danse (nouveau single)


Elle revient ! Ça y est ! La petite chanteuse de la télé-réalité française revient avec un nouvel album le 29 novembre. Et avant cela, son premier single, Je Danse, sorti il y a trois semaines, ainsi que le clip, et hop, le voici le voilà :

*** Suite à une demande de blogger, je suis dans l'obligation de retirer le clip de Jenifer, Je danse. Mais vous le retrouverez facilement sur Youtube.***

Tandis que son dernier album Lunatique qui remonte à 2007 (le temps passe vite !) nous montrait une Jenifer affranchie de son rôle de staracadémicienne - mais qui n'a pas forcément très plu à son public (300 000 albums vendus contre 600 000 pour Le Passage en 2004) -, si l'on en croit ce premier extrait de son futur bébé, on peut s'attendre à un album plus personnel avec Appelle moi Jen, qui risque de plaire à un public plus large.

La jolie Jenifer n'a plus à nous prouver que ce n'est plus une ado boulotte sortie d'une télé-réalité. Elle nous a déjà montré qu'elle pouvait être sexy, glamour, et jouer avec les aiguilles de Big Ben, ça c'est fait ! Aujourd'hui, on sent que Jen - puisque c'est ainsi qu'il faut l'appeler - veut nous montrer qui elle est vraiment.


Avec ce clip, elle se dévoile hype, vintage, fashion, et un peu déglinguée. Un petit brin de folie qu'on ne lui soupçonnait pas, son image ayant été travaillée et lissée à merveille par TF1 et Universal. Et je dois dire que c'est plutôt sympa de la voir comme ça. Z'imaginez, elle parle de Vodka !

Dans quelques jours, son album sera disponible sur plateformes numériques (le 22 novembre). D'ici là, vous pouvez écouter les extraits des titres sur qobuz.

Jen, à Paris les 19 et 20 mai 2011 au Trianon.
Liens : Tumblr officiel, Facebook officiel, twitter toujours officiel.